Tu libères des hormones qui ont un rôle de régénération, de réparation et de croissance des tissus.
Tu casses durant l'entrainement, tu reconstruis plus fort durant le sommeil.
Par exemple, la testostérone a d'importants effets bénéfiques sur la masse musculaire et la force, l'adiposité, la densité osseuse, la vigueur et le bien-être.
Ce graphique, c'est la conséquence de 3h de sommeil en moins pour un individu. (Leproult, Van Cotter, Effect of 1 week of sleep restriction on testosterone levels in young healthy men).
- Augmentation du rythme cardiaque et de la concentration en lactate lors des efforts sous-maximaux et maximaux.
- Baisse du pic de consommation d'oxygène (VO2) lors d'un effort maximal.
- Symptômes de surentrainement et difficulté à encaisser la charge d'entrainement.
- On observe les mêmes comportements entre les athlètes en manque de sommeil et ceux avec un bon niveau de sommeil mais dont la charge augmente drastiquement.
- A charge d'entrainement constante, une baisse de son niveau de sommeil équivaut à une augmentation de sa charge générale.
- Stagnation, dégradation des performances, ou au mieux, non exploitation importante de son potentiel.
Les études préconisent 8h de sommeil pour la population générale et entre 9h et 10h pour les athlètes. Ce sont des moyennes.
Les références scientifiques si tu souhaites creuser. Recherche le PMID dans Google: PMID 5315456, 21632481, 1748108, 15518298
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